
Une de mes motivations premières à commencer une thèse était de contribuer à donner la parole à ceux qui l’ont rarement. Nous avons, avec ma directrice de thèse, Marie Salaün permis à des familles de s’exprimer sur leurs expériences autour du décrochage scolaire de leurs enfants à travers notre ouvrage « L’école ambiguë : histoires de familles à Tahiti » publié à l’Harmattan en Juin 2018, représentant le premier versant de ma thèse. Le second donne la parole aux professionnels, et fera l’objet d’un nouvel ouvrage, je l’espère bientôt.
En attendant, je me fais un plaisir de suivre d’autres chercheurs ayant le même but, même si leurs domaines de prédilections peuvent être différents du mien.
C’est le cas de Stephani Germani, auteure du livre « Coulisses de psychothérapies (en prison) » publié en avril 2020 à l’Harmattan.
Nous nous sommes connus à travers le réseau social Instagram. Elle finalisait sa thèse tandis que moi, j’écrivais la mienne. Lorsqu’elle m’a contacté sur l’instagram de l’agence et expliqué chercher un éditeur sans succès. J’ai tout de suite pensé à l’ Harmattan, car son résumé me donnait l’image de la même ligne éditoriale que notre livre « L’école ambiguë : histoires de familles à Tahiti », que vous trouverez ici. Ils valorisent justement ceux qui donnent la parole à ceux qui l’ont rarement, que cela soit à l’école ou en prison.


